Non.
Honō peut être mis à disposition de victimes d'autres phénomènes que celui de violences intrafamiliales. Chaque situation est évaluée de manière spécifique.
Honō est destiné à établir un lien privilégié entre les services de police et des personnes risquant de subir des violences graves de la part de tierces personnes, que ces dernières fassent partie de la famille du bénéficiaire ou non.